Lundi 24 novembre 1 24 /11 /Nov 22:31
Un jour, alors que j’étais en CM1, j’ai fini par découvrir que ce que je faisais le soir dans mon lit s'appelait “se branler”. L’un des élèves de ma classe (un mauvais de la classe) avait rigolé parce que dans le dictionnaire (un dico pour enfant avec des grosses lettres pour trouver facilement les mots), il y avait le mot “branler”. Ca avait fait un léger remue ménage, mais je me suis bien gardé d’en parler, et je rougissais jusqu’aux oreilles en entendant les autres enfants évoquer cette pratique. A la réaction des filles, je m’étais mis à penser que nous étions les seuls, nous les garçon à se branler. (voir: La découverte de la masturbation)

C’est aussi à cette période que j’ai appris parfaitement fortuitement qu’il pouvait couler un autre liquide du sexe de l’homme: le sperme. Ca s’était passé en cours, juste après le cours de biologie sur la reproduction humaine (tient donc...). Au moment d’aller en cours, nous étions quelques-uns à poser des questions au maître qui nous avait dit qu’il y avait un autre liquide qui coulait dans un certain tuyau (l’urètre...), mais que nous verrions ça plus tard (tiens donc aussi... ^^ ). Là dessus la fille en question avait répondue avec fierté que c’était le sperme. Je me posais pleins de questions à ce sujet. A quoi ça ressemblait, et qu’est-ce que ça faisait. J’allais en apprendre beaucoup plus à ce sujet quelques temps plus tard, mais c’est la prochaine histoire!

Bref, pour le moment, j’essayais discrètement d’en savoir plus, et en parallèle, mes activités nocturnes augmentaient progressivement. Entre 8 et 10, je suis passé d’une masturbation ou deux par mois, à 3 ou 4 par semaine. Je cherchais aussi à essayer de faire varier les plaisirs.

Un jour, sans trop savoir pourquoi, j’ai gardé mon slip sous mon pyjama et j’avais à peine fini d’enfiler mon pantalon que je me suis mis à bander comme un fou. Alors, j’ai eu l’idée de mettre mon ours en peluche directement dans mon pantalon de pyjama. Il pressait sur ma bite et ses extrémités me caressaient l’entre-jambe, derrière les boules. C’était divin... Avec mon nounours dans mon pantalon, je pouvais me masturber alongé sur le dos: j’écartais mes jambes et frottais ma peluche coincée dans mon pantalon avec mes deux mains. Mais je n’ai jamais atteint l’orgasme de cette manière. Je durais simplement plus longtemps. Pour atteindre l’orgasme, il fallait toujours que je m'allonge sur mon ours selon ma technique habituelle. J’ai aussi commencé, à baisser mon pantalon dans mon lit. Je n’osais pas l’enlever entièrement, et en général je le plaçait juste sous mes fesses parce que j’avais trop peur que mes parents débarquent brutalement dans la chambre... Mais lorsque j’étais très excité, il m’arrivait de le baisser jusqu’aux chevilles. La peur d’être pris s’ajoutait à mon excitation, et je jouissais très très vite.

Vers 9 ou 10 ans, j’avais compris ce que c’était que de faire l’amour et que je simulais ça avec mon ours. C’est ainsi qu’il m’arrivait de prendre une grande Bécassine en peluche à la place. Elle était habillée, et je lui soulevais la robe, et j’enlevais ses collants avant de coller mon sexe sur son entrejambe en m'allongeant dessus. Mes mains étaient plaquées sur ses fesses pour presser Bécassine sur ma queue et j’ondulais des hanches dans un mouvement voluptueux. J’ai passé ainsi mes nuits d’enfance à jouir comme un chien. Malheureusement, ma mère a fini par me la confisquer parce qu’elle disait que j’étais maintenant trop grand. Ce en quoi elle n’avait pas tout à fait tort, parce que quand on commence à baiser Bécassine, c’est qu’on a déjà atteint une certaine maturité... XD

J’étais conscient que je faisais parfois trop de bruit. C’est pourquoi, en grandissant j’ai commencé à prendre le risque sortir de mon lit le soir. J’attendais de ne plus rien entendre dans la maison pour me glisser doucement dans le noir à coté de mon lit pour baiser mon ours à même le sol (c’était moins bruyant...). C’était tout de même un peu embêtant parce que la moquette était moins agréable que mon matelas douillet, mais le risque de me faire prendre augmentait mon excitation et comblait le problème.
Par Paäd - Publié dans : Journal de masturbation: Mes débuts
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Lundi 24 novembre 1 24 /11 /Nov 15:36
Maintenant que j’avais découvert la masturbation, j’allais enfin faire mon premier pas vers l’orgasme. Il faut bien se rappeler que j’avais 6 ou 7 ans à ce moment là. J’étais un petit garçon très sage, solitaire de caractère (mais j’ai toujours eu beaucoup beaucoup d’amis) et surtout très naïf. Je ne savais pas ce que je faisais. Je ne savais même pas que ça avait un nom. J’ai découvert le mot “masturbation” à 15 ans! C’est dire...

Bref, je me souviens que je me faisais plaisir de temps en temps. A cette époque ce n’était pas une envie réelle, physique, mais plutôt une expérience. Lorsque j’étais un peu long à m’endormir, je me disais que ça serait bien de le faire. Cette idée me venait à l’esprit comme l’envie de jouer. D’ailleurs, j’avais l’impression de jouer...

Souvent je m’endormais pendant l’acte, et je me réveillais parfois, allongé sur le ventre, la bite encore posée sur le ventre de mon nounours. Mais je n’avais pas trop de risque de me faire prendre, car je gardais bien mes couvertures sur moi, et à cette époque je me frottais la bite sur ma peluche au travers mon pyjama. Et puis, un jour, j’ai du trouver la technique parfaite et j’ai senti une envolée. Je ne pouvais plus m’arrêter, c’était impossible. Mon corps n’était plus qu’une sensation électrisante, mordante, il était tendu à l’extrême, raidi. C’était brûlant. Je me souviens serrer les dents et couper ma respiration pour ne pas faire de bruit, alors que mes mouvements du bassin devenaient frénétiques. J’enfouissais ma tête dans mon oreiller et fermant les yeux très fort. J’avais déjà un réflexe que j’ai gardé aujourd’hui encore: au moment suprême, je donnais un coup vers l’avant avec mon bassin, tandis qu’avec mes mains, je poussais mon ours en peluche vers le bas en appuyant très fort. C’était incroyable!

A partir de ce moment, je n’ai eu qu’une envie: retrouver cette sensation trop courte. Je voulais qu’elle dure indéfiniment. Aujourd’hui, lorsque je me souviens de mes orgasmes de cette époque, je les vois de couleurs rouge. C’était la couleur de l’orgasme parce que je fermais très fort mes yeux à ce moment. J’étais extrêmement curieux de cette sensation. Je n’y arrivais pas toutes les fois, et je m’étais fixé comme but de savoir ce qu’il y avait “après”, étant persuadé, qu’il ne pouvais y avoir qu’autre chose après, peut-être encore meilleur. J’avais appris par palier, d’abord la simple masturbation, puis l’orgasme. Il me fallait apprendre à chaque fois à maîtriser ma technique pour y arriver à chaque fois. Après tout, pourquoi il n’y aurait pas pu avoir quelque chose après...?

Cette période masturbatoire a duré assez longtemps sans grand changement. Je me branlais toujours de la même manière, en frottant mon sexe sur mon ours en peluche, allongé sur le ventre, les deux mains sous l’ours pour l’appuyer sur ma bite. Je le faisais toujours la nuit, dans mon lit, en pensant à mes copines de classe. Je ne pouvais pas imaginer d’autres moyen de le faire. Parfois, après l’orgasme (dont j’ignorais le nom bien entendu), j’essayais de continuer pour savoir ce qu’il y avait “après”. Mais ça ne me disait plus rien. Ma bite redevenais molle, et je m’endormais rapidement comme un bienheureux.
Par Paäd - Publié dans : Journal de masturbation: Mes débuts
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Dimanche 23 novembre 7 23 /11 /Nov 13:27

C’est difficile de raconter ma première fois réelle car ça s’est plutôt passé par étape. Le souvenir reste quand même très vivace dans mon esprit.

A certains détails, je me souviens que je devais avoir 5 ou 6 ans. J’étais en CP, c’est facile de se souvenir! Le soir, lorsque je me couchais, je lisais tard le soir en cachette. Après m’être fait grondé par mes parents, je finissais par éteindre la lumière. J’étais souvent énervé parce que je voulais connaître la suite de mon livre et j’avais donc du mal à m’endormir.

C’est ainsi qu’un jour en me tournant et me retournant dans mon lit, j’ai ressenti comme une brûlure “acide” (c’était - je m’en souviens - ce que je me disais dans ma petite tête) dans le ventre (ou par là). Mais je n’étais pas très conscient à ces moment là, et je m’endormais très vite après. La sensation est revenue plusieurs fois et j’ai fini par l'identifier pour de bon et à la localiser dans le bas du ventre. Je trouvais ça douloureux et même temps très agréable, mais beaucoup trop bref. J’avais beaucoup de mal à comprendre comment la produire à volonté. Je n’avais pas fait le rapport de la sensation avec ma petite bite!

Je me souviens très bien du jour ou j’ai essayé volontairement de produire la sensation. C’était frustrant! Je n’y arrivais qu’aléatoirement sans savoir ce que j’avais fais pour ça... J’étais tellement petit! J’ai fini par constater que ça marchais souvent lorsque j’étais sur le ventre. J’essayais de me tortiller naturellement et puis un jour, je ne sais pas, j’ai enfin fais le rapprochement avec ma bite et j’ai compris qu’il fallait qu’elle soit toute raide.
Au tout début, je frottais mon sexe sur les draps mais c’était peu satisfaisant. Avec le temps j’ai alors développé une technique particulière. Lorsque je bandais, je m'allongeais sur le ventre, et je plaçais mon nounours en peluche sous moi, ma bite reposant soigneusement sur son ventre. Je plaçais mes deux mains l’une sur l’autre, sous l’ours, ce qui me permettait de faire varier la pression de la peluche sur mon sexe et de lui imprimer un léger vas et viens. Ensuite, j’ondulais du bassin d’avant en arrière pour faire glisser mon penis sur le ventre de la pauvre peluche.

Ce qui m'impressionne, c’est que, bien qu’ignorant tout de la nature de mon acte et des véritables relations entre hommes et femmes, je pensais déjà aux filles de ma classe. J’avais remarqué que ça augmentait mon plaisir. Je m’imaginais faire ça en leur présence, alors qu’elle m’encourageaient, ou qu’elle le faisait aussi à côté de moi. Plus tard, vers 9-10 ans j’ai remis en doute l’existence de la masturbation féminine (à tord bien sûr....) mais à cette époque de ma petite enfance, je ne voyais pas pourquoi les filles ne pouvais pas faire la même chose. Je savais qu’elles avait “un trou” (j’imaginais ça un peu comme un trou de nez...), mais pour moi, l’important était le frottement et je pensais qu’il leur suffisait à elles aussi de se frotter. J’ai appris bien des années plus tard qu’elles faisaient la même chose. Je les imaginais le soir dans leur lit en train de faire subir le même sort à leur ours en peluche.

Pourtant, de façon innée, je savais qu’il ne fallait pas en parler. Je ne pensais pas que c’était mal, mais je pensais que c’était trop personnel. La grande difficulté était d’ailleurs de ne pas faire trop de bruit dans mon lit pour ne pas éveiller mes parents ou mon frère. C’était les tous débuts de ma masturbation. Il faut se rappeler que je n’avais pas plus de 6 ans. Je n’avais encore jamais atteint l’orgasme. Je ne savais pas que ça existait, et je ne cherchais que la meilleur méthode pour atteindre cette drôle de sensation.

Par Paäd - Publié dans : Journal de masturbation: Mes débuts
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Dimanche 23 novembre 7 23 /11 /Nov 11:10

Pour les petites présentations, on dira que je m’appelle Paäd (qui n’est pas mon vrais nom comme vous vous en doutez ^^ ), que j’ai 29 ans (qui est mon vrais âge :P ), que je suis brun et que j’ai les yeux verts. Je mesure 1,72m et pèse 65 kg. Voili voilou.

J’ai eu mon premier vrais baiser à 14 ans, et je suis vraiment sorti avec une fille à 16 ans. Bref, je ne me suis pas trop mal débrouillé jusque là, mais après ça a été moins bon. J’ai eu ma première relation sexuelle qu’à 22 ans - eh ouais - mais je me suis rattrapé après.

Mais le principal n’est pas là, puisque le but de ce blog c’est de vous raconter ma petite histoire de la masturbation. Il se trouve que j’ai eu (et j’ai toujours) une masturbation très riche. Je vais donc vous raconter dans l’ordre ce qui s’est passé au cours de ma vie masturbatoire. Il va sans dire que tous ces récits sont vrais. Je n’ai aucune raison de mentir car je suis là derrière mon ordinateur, tranquille, et vous, vous ne pouvez pas savoir qui je suis. Mais imaginez que vous m’avez peut-être croisé! J’aime beaucoup lire les confessions (surtout les véritables - assez facilement détectables) et lorsque je me retrouve dans le métro, je m’imagine parfois que la personne en fasse de moi est celle qui écrit le soir ses confession sur la toile... Sous nos dehors distant, froid, hautains, sûr de nous, nous avons parfois de petits volcans dans la tête.
Ce blog m’est pas complètement réservé. Si vous souhaitez m’envoyer vos confession, je me ferais un plaisir de les publier si elles sont écrite correctement (un minimum au moins) et qu’elles en vaillent la peine (homme et femmes...).

Mais pour le moment, ça commence ici!


Pour me contacter et m'envoyer vos récits: spirou_photo [at] hotmail [pt] fr


PS: Ecrivez bien lisiblement, merci! ^^

Par Paäd - Publié dans : Bienvenue!
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