Journal de masturbation: L'adolescence

Lundi 19 janvier 1 19 /01 /Jan 13:06
Maintenant que j’éjaculais, utiliser mon oreiller pour me frotter dessus devenait de plus en plus compliqué. A l’entrée en 4e, mes éjaculations étaient abondantes et épaisses, et laissaient de grosse traces jaunes sur mes coussins et mes oreillers. Ma mère les lavaient souvent, mais les traces ne partaient pas. Je ne me suis jamais pris de réflexions, et connaissant ma mère, je suis presque certain qu’elle n’a jamais vraiment fait le rapprochement... Pourtant, me frotter contre mon oreiller était ma méthode favorite, et je l’utilisais encore très très souvent. Plutôt lorsque j’avais du temps pour me mettre à l’aise, lorsque j’étais seul à la maison. J’essayais de retenir mon éjaculation pour que ça ne parte pas trop fort, et je tentais d’éjaculer dans mon prépuce... Mais j’en mettais souvent à côté. Je me masturbais de plus en plus rarement la nuit, car je regardais des photos de lingerie dans les catalogues 3 Suisses ou La Redoute de ma mère (j’utilisais aussi mon bouquin de science naturelle dans laquelle il y avait un chapitre sur la reproduction avec une photo d’une jeune fille nue, à la toison abondante). Lorsque j’étais à mon bureau, en pleine journée, je me branlais avec ma main (et je faisais de grands progrès avec cette technique).

Et puis, j’avais la tête remplie d’histoire cochonnes, toutes plus invraisemblables les unes que les autres. J’imaginais que je faisais l’amour avec ma prof d’anglais qui était jeune et magnifique. Je la prenais dans toutes les positions sur son bureau ou bien, elle m’encourageais à me masturber devant elle. J’imaginais aussi faire l’amour à mes copines de classe. Je regardais leurs fesses et leur sexe moulé dans leur jean pendant la journée, et je me frottais contre un coussin le soir et me rappelant d’elle. En cours de français, les tables étaient installées en “U”, et j’avais été placé au premier rang parce que je bavardais trop. En face de moi, il y avait la plus jolie fille de toute la classe. Une blonde avec des yeux bleu profond, et un air d’ange. Elle avait de belles petite fesses et une jolie petite poitrine qui semblait bien ferme. Un jour, elle portait une jupe, et ses jambes légèrement écartées dévoilait sa petite culotte de coton. Je m’étais baissé pour avoir une meilleure vue, et je jurerais qu’elle avait compris ce que je faisais, mais elle avait écarté un peu plus ses cuisses, imperceptiblement. J’étais devenu tout rouge, mais je n’ai jamais eu une autre occasion de revoir sa petite culotte. En revanche, cet épisode a alimenté mes fantasmes pendant des années!
Par Paäd - Publié dans : Journal de masturbation: L'adolescence
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Lundi 5 janvier 1 05 /01 /Jan 13:54
Comme je l’avais expliqué précédemment, lorsque j’étais au collège, je me masturbais souvent lorsque ma mère partait chercher mon petit frère à l’école. A cette époque, j’étais en pleine exploration sexuelle. C’est pendant une de ces fois, un mercredi après-midi, où j’ai éjaculé pour la première fois (j’étais en 5e). Mon frère avait une figurine articulée violette représentant une femme guerrière. Je lui avais piqué parce que, sans que je sache trop pourquoi, je la trouvais terriblement excitante! Elle avait de jolis petits seins et une chatte bien dessinée. Ce jour là, je m’amusais à frotter doucement mon sexe sur son entre-jambe , assis sur mes genoux, jambes écartées, le slip sur le chevilles, quand soudain, j’ai vu que mon gland était humide, mouillé par un liquide légèrement épais et complètement translucide. J’ai remarqué qu’il y en avait aussi sur l’entrejambe de la guerrière. Ma première réaction a été la peur, car j’imaginais une sorte de maladie, et qu’il faudrait aller chez le médecin, qu’il verrait ce que je faisais... Mais très vite, je me suis calmé pensant que c’était du sperme. Un petit doute subsistait parce que j’avais lu dans le dictionnaire que le sperme était un liquide épais et blanchâtre, ce qui ne correspondait pas. J’imaginais que c’était parce que j’étais encore trop jeune. J’avais entendu les filles dire qu’avant leurs règles, elles avaient des pertes blanches. Pour nous, c’était peut-être pareil? La deuxième chose, c’est que je n’avais pas eu d’orgasme, or il était clair que normalement, le sperme coulait au moment de l’orgasme. Mais pour ça, il était facile de le savoir: j’allais recommencer. Parfois, lorsque j’étais fatigué, ou que je m’étais masturbé trop souvent, les orgasmes étaient parfois très faibles... J’essuyais donc soigneusement la guerrière violette (de peur de laisser des traces - je ne savais pas si ça tachait...), et la remettait donc en place, content de moi malgré tout.

Dès que j’en ai eu l’occasion, j’ai décidé de remettre ça, avec la guerrière (peut-être que c’était elle qui provoquait ça?) et j’ai observé le même phénomène. J’ai alors recommencé en me frottant sur mon oreiller ou avec ma mains, et à chaque fois, je voyais le même liquide, mais je ne pouvais pas dire à quel moment celui-ci apparaissait. Les quantités devenaient chaque jour plus grande (ça restait ridiculement peu, à peine de quoi mouiller le gland), mais je ne le voyais jamais sortir. Au collège, il semblait que cela commençait aussi à arriver à certains d’entre nous. J’étais totalement rassuré, et je crois un peu fier. Et puis, brutalement, très peu de temps après ces “événements”, le sperme s’est finalement teinté d’une couleur légèrement blanche. C’était fait. Il s’est ensuite écoulé un long moment avant de voir sortir le sperme. J'eus la surprise de découvrir qu’il sortait par saccade. A l’époque, pas de gros jets comme on le voit dans les vidéos pornos, mais des petites gouttelettes sortant rapidement par saccade. Certains de mes camarades de classe se vantaient de lancer de long jets puissants (parfois même de l’autre côté du lit). Pour ma part, ça restait toujours de tous petits jets (mais peut-on même appeler ça des jets?). C’était heureux parce que, à cette époque, je n’avais pas de sperme à essuyer par terre (le sol de ma chambre était recouvert de moquette). Mais tout de même, à l’époque, j'eut aimé voir un gros jet. En fait, ça m’est arrivé, je pense à peu près un an plus tard, pendant les grandes vacance d’été.

Je passais mes vacances à la montagne, et bien sûr, pas moyen de s’isoler pour pouvoir me soulager. Je faisais ça sporadiquement aux toilettes, ou dans la salle de bain. Mais ce n’était pas confortable, et je n’avais pas beaucoup de temps avant qu’on frappe à la porte pour me demander ce que je fichais là dedans. Bref, je ne pouvais pas me finir et j’avais le gland en feu. J’étais excité comme ce n’était pas possible. De plus c’est aussi à cette époque que j’ai commencé à me monter des histoires cochonnes dans ma tête qui me maintenaient à des niveaux d’excitation extrêmes à longueur de journée. Une fois, alors que j’étais dans cet état, j’ai alors décidé de descendre au garage pour y trouver un peu de tranquillité. Malheureusement, il n’y avait même pas un siège, et le garage était commun à d’autres appartements. Bref, quelqu’un pouvait débarquer à n’importe quel moment. Je me suis alors masturbé debout, le jean et le slip baissé sous les fesses, les jambes écartées au possible. Je branlais mon gland le plus vite possible trouvant enfin un soulagement à mes pensées concupiscentes. Et puis, je ne sais pas pourquoi, mais je me rappelle parfaitement la montée brutale du plaisir. C’est une de mes jouissances dont je me souviens le mieux. C’était incroyable! Mes jambes se sont mises à trembler, incontrôlables, puis mon corps s’est contracté spasmodiquement, je n’entendais plus rien et d’un seul coup, je me suis raidi, tous les muscles tendus et c’est parti. C’est parti! C’est le mot... Un jet immense, droit net, une magnifique parabole qui s’est écrasé contre le sol et en même temps, une brûlure terrible dans mon sexe. J’ai poussé un râle. Encore des jets, puissants rapide, violents même, encore, encore... Je me souviens même avoir rigolé juste après, éberlué par cette incroyable jouissance.
Par Paäd - Publié dans : Journal de masturbation: L'adolescence
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Jeudi 27 novembre 4 27 /11 /Nov 13:11
Et puis ce fut la rentrée en 6e, et c’est à ce moment là que j’ai appris un tas de choses! Déjà j’écoutais le soir la radio en cachette dans mon lit. A cette époque c’était l’émission du soir sur NRJ (c’est rapidement passé à Fun, et l’émission de Max...). C’était une mine incroyable d’informations! Et puis nous parlions de plus en plus librement de sexualité avec les autres garçons et parfois même avec les filles. Nous attendions avec impatience le moment ou enfin nous pourrions éjaculer et les filles semblaient très curieuses d’en savoir plus également.

C’est ainsi que j'apprit que beaucoup se masturbaient devant les catalogues de La Redoute ouvert à la page lingerie. Ca fait sourire, mais c’est tellement vrais... Qui ne l’a pas fait. Malheureusement, à ce moment là, ma mère ne commandait pas par correspondance, mais mes copains me filait les pages arrachés des vieux catalogues. Les filles étaient tellement belles! Mais ceci a fini par impliquer le fait que je ne pouvais plus me soulager le soir dans mon lit: il me fallait de la lumière. A cette époque j’avais bien trop peur de me faire surprendre, alors j’attendais d’être seul à la maison. Je n’avais pas cours le mercredi après-midi et ma mère devait aller chercher mon petit frère à son école. J’avais donc toutes les semaines un créneaux libre pour m’en donner à coeur joie. Je pouvais m’installer confortablement et placer devant moi toutes ces jolies jeunes filles en culotte.

J’entrais dans l’adolescence et ma queue commençais à grossir sérieusement, mais je n’éjaculais toujours pas. Je n’utilisais plus mon ours en peluche, mais mon oreiller et mon traversin que je pliait en deux, et parfois même les deux empilés l’un sur l’autre pour avoir plus de moelleux (je les baisais agenouillés, les jambes écartés, la queue coincée entre les oreillers et mon ventre). C’est ainsi que j’ai commencé à me masturber de jour et à abandonner la masturbation le soir dans mon lit (trop bruyante, et pas de lumière pour voir les pages lingerie). Parfois à mon bureau, je secouais ma bite avec mes doigts, je cherchais des techniques, je tirais sur mon slip, j’y plaçais des mouchoirs pour augmenter la pression sur ma bite, je sentais l’odeur de mes doigts après avoir touché mon sexe. Cette odeur me rendais dingue et je bandais comme un fou en pensant aux filles de la classe. Je savais qu’elles aussi évoquaient la masturbation parfois entre-elles (en tout cas quelques-unes un peu plus téméraires) et beaucoup rougissaient en baissant les yeux et en certifiant que c’était dégoûtant (pour beaucoup, ça ne les empêchaient pas d’écouter quand même...). J’ai même appris qu’une d’entre elle avait essayé de se masturber avec son stylo à 12 couleurs (ou un truc du genre, c’était un stylo à la mode à l’époque qui avait le diamètre d’une bite). Je ne savais pas vraiment si c’était vrais, mais ça m’excitait prodigieusement de les immaginer. J’étais persuadé que c’était pour elles la seule solution pour se caresser. Je ne connaissais pas l’existence du clitoris... Il m’est même arrivé en cours d’emprunter leur stylo et de le sniffer discretement. Ça peut peut-être paraître étonnant autant de familiarité entre filles et garçons, mais nous nous connaissions très bien et depuis longtemps. Nous faisions notre apprentissage ensemble. Chacun était avide de savoir et nous surpassions parfois notre timidité pour en savoir plus, les oreilles en feu.

C’est ainsi qu’avec les garçons de ma classe, nous avions commencé à nous masturber dans le petit bois au fond de la cours de récréation. Nous échangions nos expérience, et comparions la taille de nos bites. Je dois avouer, avec un manque évident de modestie, que j’avais gagné le respect de tous mes amis parce que j’avais la plus grosse. Cette idée s’était même assez largement répandue dans la classe et même parmi les filles. Elles étaient d’ailleurs au courant de nos activités dans les bois et il n’était pas rare de les voir débouler espérant nous surprendre. Nous parlions alors sexe ensemble, nous voulions tout savoir. Je me souviens, qu’elles avaient voulu voir comment ça faisait quand nous bandions. Elles nous avaient demandé de leur montrer au travers le pantalon. Trop malin, nous avions placé un bout de bois à la place (mais elles n’avaient pas été dupe).

Un jour nous avons même été nous masturber une fois pendant le cours de français au fond de la classe. Certaines filles avaient compris, je pense, ce que nous faisions, car elles se retournaient de temps en temps en rigolant. Nous cachions notre bite sous notre chemise. Je ne suis pas certains, mais je pense que la prof se doutais plus ou moins de ce que nous faisions parce qu’elle m’avait fixé, et elle fini par me dire que j’avais une belle chemise. Ça nous avait un peu calmé sur le moment, mais après nous en avions rigolé pendant longtemps!
Par Paäd - Publié dans : Journal de masturbation: L'adolescence
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