Lundi 24 novembre
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Un jour, alors que j’étais en CM1, j’ai fini par découvrir que ce que je faisais le soir dans mon lit s'appelait “se branler”. L’un des élèves de ma classe (un mauvais de la classe) avait rigolé
parce que dans le dictionnaire (un dico pour enfant avec des grosses lettres pour trouver facilement les mots), il y avait le mot “branler”. Ca avait fait un léger remue ménage, mais je me suis
bien gardé d’en parler, et je rougissais jusqu’aux oreilles en entendant les autres enfants évoquer cette pratique. A la réaction des filles, je m’étais mis à penser que nous étions les seuls, nous
les garçon à se branler. (voir:
La découverte de la masturbation)
C’est aussi à cette période que j’ai appris parfaitement fortuitement qu’il pouvait couler un autre liquide du sexe de l’homme: le sperme. Ca s’était passé en cours, juste après le cours de
biologie sur la reproduction humaine (tient donc...). Au moment d’aller en cours, nous étions quelques-uns à poser des questions au maître qui nous avait dit qu’il y avait un autre liquide qui
coulait dans un certain tuyau (l’urètre...), mais que nous verrions ça plus tard (tiens donc aussi... ^^ ). Là dessus la fille en question avait répondue avec fierté que c’était le sperme. Je me
posais pleins de questions à ce sujet. A quoi ça ressemblait, et qu’est-ce que ça faisait. J’allais en apprendre beaucoup plus à ce sujet quelques temps plus tard, mais c’est la prochaine
histoire!
Bref, pour le moment, j’essayais discrètement d’en savoir plus, et en parallèle, mes activités nocturnes augmentaient progressivement. Entre 8 et 10, je suis passé d’une masturbation ou deux par
mois, à 3 ou 4 par semaine. Je cherchais aussi à essayer de faire varier les plaisirs.
Un jour, sans trop savoir pourquoi, j’ai gardé mon slip sous mon pyjama et j’avais à peine fini d’enfiler mon pantalon que je me suis mis à bander comme un fou. Alors, j’ai eu l’idée de mettre mon
ours en peluche directement dans mon pantalon de pyjama. Il pressait sur ma bite et ses extrémités me caressaient l’entre-jambe, derrière les boules. C’était divin... Avec mon nounours dans mon
pantalon, je pouvais me masturber alongé sur le dos: j’écartais mes jambes et frottais ma peluche coincée dans mon pantalon avec mes deux mains. Mais je n’ai jamais atteint l’orgasme de cette
manière. Je durais simplement plus longtemps. Pour atteindre l’orgasme, il fallait toujours que je m'allonge sur mon ours selon ma technique habituelle. J’ai aussi commencé, à baisser mon pantalon
dans mon lit. Je n’osais pas l’enlever entièrement, et en général je le plaçait juste sous mes fesses parce que j’avais trop peur que mes parents débarquent brutalement dans la chambre... Mais
lorsque j’étais très excité, il m’arrivait de le baisser jusqu’aux chevilles. La peur d’être pris s’ajoutait à mon excitation, et je jouissais très très vite.
Vers 9 ou 10 ans, j’avais compris ce que c’était que de faire l’amour et que je simulais ça avec mon ours. C’est ainsi qu’il m’arrivait de prendre une grande Bécassine en peluche à la place. Elle
était habillée, et je lui soulevais la robe, et j’enlevais ses collants avant de coller mon sexe sur son entrejambe en m'allongeant dessus. Mes mains étaient plaquées sur ses fesses pour presser
Bécassine sur ma queue et j’ondulais des hanches dans un mouvement voluptueux. J’ai passé ainsi mes nuits d’enfance à jouir comme un chien. Malheureusement, ma mère a fini par me la confisquer
parce qu’elle disait que j’étais maintenant trop grand. Ce en quoi elle n’avait pas tout à fait tort, parce que quand on commence à baiser Bécassine, c’est qu’on a déjà atteint une certaine
maturité... XD
J’étais conscient que je faisais parfois trop de bruit. C’est pourquoi, en grandissant j’ai commencé à prendre le risque sortir de mon lit le soir. J’attendais de ne plus rien entendre dans la
maison pour me glisser doucement dans le noir à coté de mon lit pour baiser mon ours à même le sol (c’était moins bruyant...). C’était tout de même un peu embêtant parce que la moquette était moins
agréable que mon matelas douillet, mais le risque de me faire prendre augmentait mon excitation et comblait le problème.