Nous ne disions rien, mais de fil en aiguilles, il se mis à nous montrer comment se masturbait. Il prenait son gland entre deux ou trois doigts et il calottait et recalottait son bout très vite. Il disait que c’était bon. Mon autre camarade fini par avouer déjà faire la même chose, de la même manière.
J’étais très surpris car je ne connaissais pas cette méthode. Moi, je me frottais contre mes peluches! J’essayais rapidement leur méthode, mais, aïe! ça faisait mal et ce n’était pas agréable du tout. Je leur montrais alors ma méthode avec mon ours en peluche, mais ça ne fit pas beaucoup d’effets...
Le soir nous avons remis ça. Je n’arrivais pas à atteindre l’orgasme en présence d’autres garçons, et je ne l’ai jamais atteint de cette manière. Soudain, le plus grand garçon a commencé à nous expliquer que les filles nous faisait parfois la même chose, avec leurs mains et avec leurs bouches. Je pensais immédiatement que ça devait être très agréable. Il dit qu’il avait hâte que ça lui arrive et puis il nous proposa de nous le faire si nous acceptions ensuite de lui faire. Mon autre camarade fut tout de suite d’accord. Je protestais avec véhémence en leurs disant que c’était dégoûtant. Je trouvais déjà bizarre de se masturber en présence d’autres garçon, alors... Je ne pouvais concevoir ces activités qu’avec une fille. Ils firent fit de mes protestation, et très vite le plus grand rejoint mon camarade dans son lit et commença à le suçer. Je me souviens qu’il disait qu’il n’avait jamais senti quelque chose d’aussi bon. Lorsqu’ils eurent fini, il échangèrent et le plus jeune suça le plus vieux. Moi, je reste stoïque au fond de mon lit, les oreilles en feu. Devant leur enthousiasme, je fini par commencer à changer d’avis. Après tout, ça n’engageais à rien, et je voulais savoir ce que ça faisait. Je déclarais donc mon accord, mais je refusais de suçer moi-même.
Le plus grand s’approcha de mon lit, et mis ma bite dans sa bouche. C’était incroyablement chaud et tout doux, une sensation divine. Je sentais bien son palais et sa langue qui frottait mon gland. Je n’avais rien connu d’aussi bon, avec cette petite aspiration qu’il nous prodiguait. Bien des années plus tard, la première fille qui me fit une fellation ne s’était pas aussi bien débrouillée que lui...
Bien, c’était fait, j’en savais beaucoup plus. Mais j’étais devenu accro. Le lendemain, je demandais à remettre ça. Mais le plus grand refusais cette fois-ci. Mon autre camarade me dis qu’il me le ferait si j’acceptais de lui faire. J’étais très réticent. Il y a une grande différence entre sucer et être sucer. Lorsque j’étais sucé j’imitais la sensation que j’aurais lorsqu’une fille me le ferais. Je pouvais m’imaginer une fille en train de prend ma bite dans sa bouche. Mais sucer était un acte homosexuel plus fort, et je n’étais pas du tout attiré par les garçons. A contre coeur, j’acceptais de lui faire parce que je voulais encore revivre une fellation une fois. J’avoue ne pas avoir aimé du tout, et j’ai pris beaucoup plus de plaisir à mon premier cunnilingus des années plus tard. Mais j’ai fini par avoir ma récompense: une autre fellation.
Et puis chacun étant retourné dans son lit, le grand se mis à nous dire que certaines filles se faire mettre la bite dans le cul. J’étais très surpris, mais je me disais pourquoi pas... Il nous proposa de lui mettre notre bite dans le cul. Mon camarade refusa, mais je réfléchissais. Je n’aurais pas une autre occasion avant longtemps. Quel mal y avait-il? J’acceptais.
Il était allongé sur le ventre, tout nu, et je me glissais sous ses couvertures. Je m'allongeais sur lui. C’était tout chaud. Je sorti ma queue et essaya de lui mettre dans le cul. C’était impossible. Bien sûr qu’on ne pouvait y arriver de cette manière! Du coup, je finissais par lui mettre ma bite entre ses fesses, et je me masturbais comme ça, comme lorsque je me frottais contre mon ours en peluche. Je ne saurais dire si c’était bon, mais je me souviens que c’était très chaud. Nous avons arrêté au bout de deux ou trois minutes et commenté le résultat. Puis une bagarre de polochons éclata dans le couloir et nous nous ruâmes dehors pour y prendre part. Nous n’avons plus évoqué ces événement.
Je pense que nous avons tous vécu ces jeux sexuels comme des découvertes, nous étions avides d’en savoir plus. Je suis un jour tombé sur les statistiques du nombre de garçon aillant eut une expérience homosexuelle. Je ne me souviens plus du chiffre, mais il était énorme et sans doute encore plus grand chez les filles. D’ailleurs, plusieurs filles avec qui j’ai eu des relation très intimes (meilleures amies, ou petites copines) m’ont avoué avoir eu des relations lesbiennes une fois pour voir aussi. Certaines avec leurs cousines, d’autres avec leur meilleure amie. Les garçons avouent moins ouvertement encore ce genre d’aventure (alors qu’ils parlent volontiers de leurs masturbations...), mais quand je vois le nombre de confessions sur internet, je me dis que c’est très répandu autant chez les garçons que chez les filles...
En tout cas, je n’avais jamais parlé de ça, et je ne l’avais même jamais couché sur le papier, refoulant l’expérience au plus profond de moi. A tel point, que je n’ai parfois pas l’impression de l’avoir vécu. Mais je n’en ai jamais été traumatisé, le prenant simplement comme une curiosité de petit garçon...
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