Dimanche 23 novembre
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C’est difficile de raconter ma première fois réelle car ça s’est plutôt passé par étape. Le souvenir reste quand même très vivace dans mon esprit.
A certains détails, je me souviens que je devais avoir 5 ou 6 ans. J’étais en CP, c’est facile de se souvenir! Le soir, lorsque je me couchais, je lisais tard le soir en cachette. Après m’être
fait grondé par mes parents, je finissais par éteindre la lumière. J’étais souvent énervé parce que je voulais connaître la suite de mon livre et j’avais donc du mal à m’endormir.
C’est ainsi qu’un jour en me tournant et me retournant dans mon lit, j’ai ressenti comme une brûlure “acide” (c’était - je m’en souviens - ce que je me disais dans ma petite tête) dans le ventre
(ou par là). Mais je n’étais pas très conscient à ces moment là, et je m’endormais très vite après. La sensation est revenue plusieurs fois et j’ai fini par l'identifier pour de bon et à la
localiser dans le bas du ventre. Je trouvais ça douloureux et même temps très agréable, mais beaucoup trop bref. J’avais beaucoup de mal à comprendre comment la produire à volonté. Je n’avais pas
fait le rapport de la sensation avec ma petite bite!
Je me souviens très bien du jour ou j’ai essayé volontairement de produire la sensation. C’était frustrant! Je n’y arrivais qu’aléatoirement sans savoir ce que j’avais fais pour ça... J’étais
tellement petit! J’ai fini par constater que ça marchais souvent lorsque j’étais sur le ventre. J’essayais de me tortiller naturellement et puis un jour, je ne sais pas, j’ai enfin fais le
rapprochement avec ma bite et j’ai compris qu’il fallait qu’elle soit toute raide.
Au tout début, je frottais mon sexe sur les draps mais c’était peu satisfaisant. Avec le temps j’ai alors développé une technique particulière. Lorsque je bandais, je m'allongeais sur le ventre,
et je plaçais mon nounours en peluche sous moi, ma bite reposant soigneusement sur son ventre. Je plaçais mes deux mains l’une sur l’autre, sous l’ours, ce qui me permettait de faire varier la
pression de la peluche sur mon sexe et de lui imprimer un léger vas et viens. Ensuite, j’ondulais du bassin d’avant en arrière pour faire glisser mon penis sur le ventre de la pauvre peluche.
Ce qui m'impressionne, c’est que, bien qu’ignorant tout de la nature de mon acte et des véritables relations entre hommes et femmes, je pensais déjà aux filles de ma classe. J’avais remarqué que
ça augmentait mon plaisir. Je m’imaginais faire ça en leur présence, alors qu’elle m’encourageaient, ou qu’elle le faisait aussi à côté de moi. Plus tard, vers 9-10 ans j’ai remis en doute
l’existence de la masturbation féminine (à tord bien sûr....) mais à cette époque de ma petite enfance, je ne voyais pas pourquoi les filles ne pouvais pas faire la même chose. Je savais qu’elles
avait “un trou” (j’imaginais ça un peu comme un trou de nez...), mais pour moi, l’important était le frottement et je pensais qu’il leur suffisait à elles aussi de se frotter. J’ai appris bien
des années plus tard qu’elles faisaient la même chose. Je les imaginais le soir dans leur lit en train de faire subir le même sort à leur ours en peluche.
Pourtant, de façon innée, je savais qu’il ne fallait pas en parler. Je ne pensais pas que c’était mal, mais je pensais que c’était trop personnel. La grande difficulté était d’ailleurs de ne pas
faire trop de bruit dans mon lit pour ne pas éveiller mes parents ou mon frère. C’était les tous débuts de ma masturbation. Il faut se rappeler que je n’avais pas plus de 6 ans. Je n’avais encore
jamais atteint l’orgasme. Je ne savais pas que ça existait, et je ne cherchais que la meilleur méthode pour atteindre cette drôle de sensation.
Je m'interesse beaucoup au SM.
J'ai un petit penis et j'aime beaucoup être humilié par rapport a sa.
Si vous souhaité le voir et commenté il y as sur mon blog des photos :
-soumisgre.over-blog.com
Merci.