Journal de masturbation
Un jour, alors que j’étais en CM1, j’ai fini par découvrir que ce que je faisais le soir dans mon lit s'appelait “se branler”. L’un des élèves de ma classe (un mauvais de la classe) avait rigolé
parce que dans le dictionnaire (un dico pour enfant avec des grosses lettres pour trouver facilement les mots), il y avait le mot “branler”. Ca avait fait un léger remue ménage, mais je me suis
bien gardé d’en parler, et je rougissais jusqu’aux oreilles en entendant les autres enfants évoquer cette pratique. A la réaction des filles, je m’étais mis à penser que nous étions les seuls, nous
les garçon à se branler. (voir: La découverte de la masturbation)
C’est aussi à cette période que j’ai appris parfaitement fortuitement qu’il pouvait couler un autre liquide du sexe de l’homme: le sperme. Ca s’était passé en cours, juste après le cours de biologie sur la reproduction humaine (tient donc...). Au moment d’aller en cours, nous étions quelques-uns à poser des questions au maître qui nous avait dit qu’il y avait un autre liquide qui coulait dans un certain tuyau (l’urètre...), mais que nous verrions ça plus tard (tiens donc aussi... ^^ ). Là dessus la fille en question avait répondue avec fierté que c’était le sperme. Je me posais pleins de questions à ce sujet. A quoi ça ressemblait, et qu’est-ce que ça faisait. J’allais en apprendre beaucoup plus à ce sujet quelques temps plus tard, mais c’est la prochaine histoire!
Bref, pour le moment, j’essayais discrètement d’en savoir plus, et en parallèle, mes activités nocturnes augmentaient progressivement. Entre 8 et 10, je suis passé d’une masturbation ou deux par mois, à 3 ou 4 par semaine. Je cherchais aussi à essayer de faire varier les plaisirs.
Un jour, sans trop savoir pourquoi, j’ai gardé mon slip sous mon pyjama et j’avais à peine fini d’enfiler mon pantalon que je me suis mis à bander comme un fou. Alors, j’ai eu l’idée de mettre mon ours en peluche directement dans mon pantalon de pyjama. Il pressait sur ma bite et ses extrémités me caressaient l’entre-jambe, derrière les boules. C’était divin... Avec mon nounours dans mon pantalon, je pouvais me masturber alongé sur le dos: j’écartais mes jambes et frottais ma peluche coincée dans mon pantalon avec mes deux mains. Mais je n’ai jamais atteint l’orgasme de cette manière. Je durais simplement plus longtemps. Pour atteindre l’orgasme, il fallait toujours que je m'allonge sur mon ours selon ma technique habituelle. J’ai aussi commencé, à baisser mon pantalon dans mon lit. Je n’osais pas l’enlever entièrement, et en général je le plaçait juste sous mes fesses parce que j’avais trop peur que mes parents débarquent brutalement dans la chambre... Mais lorsque j’étais très excité, il m’arrivait de le baisser jusqu’aux chevilles. La peur d’être pris s’ajoutait à mon excitation, et je jouissais très très vite.
Vers 9 ou 10 ans, j’avais compris ce que c’était que de faire l’amour et que je simulais ça avec mon ours. C’est ainsi qu’il m’arrivait de prendre une grande Bécassine en peluche à la place. Elle était habillée, et je lui soulevais la robe, et j’enlevais ses collants avant de coller mon sexe sur son entrejambe en m'allongeant dessus. Mes mains étaient plaquées sur ses fesses pour presser Bécassine sur ma queue et j’ondulais des hanches dans un mouvement voluptueux. J’ai passé ainsi mes nuits d’enfance à jouir comme un chien. Malheureusement, ma mère a fini par me la confisquer parce qu’elle disait que j’étais maintenant trop grand. Ce en quoi elle n’avait pas tout à fait tort, parce que quand on commence à baiser Bécassine, c’est qu’on a déjà atteint une certaine maturité... XD
J’étais conscient que je faisais parfois trop de bruit. C’est pourquoi, en grandissant j’ai commencé à prendre le risque sortir de mon lit le soir. J’attendais de ne plus rien entendre dans la maison pour me glisser doucement dans le noir à coté de mon lit pour baiser mon ours à même le sol (c’était moins bruyant...). C’était tout de même un peu embêtant parce que la moquette était moins agréable que mon matelas douillet, mais le risque de me faire prendre augmentait mon excitation et comblait le problème.
C’est aussi à cette période que j’ai appris parfaitement fortuitement qu’il pouvait couler un autre liquide du sexe de l’homme: le sperme. Ca s’était passé en cours, juste après le cours de biologie sur la reproduction humaine (tient donc...). Au moment d’aller en cours, nous étions quelques-uns à poser des questions au maître qui nous avait dit qu’il y avait un autre liquide qui coulait dans un certain tuyau (l’urètre...), mais que nous verrions ça plus tard (tiens donc aussi... ^^ ). Là dessus la fille en question avait répondue avec fierté que c’était le sperme. Je me posais pleins de questions à ce sujet. A quoi ça ressemblait, et qu’est-ce que ça faisait. J’allais en apprendre beaucoup plus à ce sujet quelques temps plus tard, mais c’est la prochaine histoire!
Bref, pour le moment, j’essayais discrètement d’en savoir plus, et en parallèle, mes activités nocturnes augmentaient progressivement. Entre 8 et 10, je suis passé d’une masturbation ou deux par mois, à 3 ou 4 par semaine. Je cherchais aussi à essayer de faire varier les plaisirs.
Un jour, sans trop savoir pourquoi, j’ai gardé mon slip sous mon pyjama et j’avais à peine fini d’enfiler mon pantalon que je me suis mis à bander comme un fou. Alors, j’ai eu l’idée de mettre mon ours en peluche directement dans mon pantalon de pyjama. Il pressait sur ma bite et ses extrémités me caressaient l’entre-jambe, derrière les boules. C’était divin... Avec mon nounours dans mon pantalon, je pouvais me masturber alongé sur le dos: j’écartais mes jambes et frottais ma peluche coincée dans mon pantalon avec mes deux mains. Mais je n’ai jamais atteint l’orgasme de cette manière. Je durais simplement plus longtemps. Pour atteindre l’orgasme, il fallait toujours que je m'allonge sur mon ours selon ma technique habituelle. J’ai aussi commencé, à baisser mon pantalon dans mon lit. Je n’osais pas l’enlever entièrement, et en général je le plaçait juste sous mes fesses parce que j’avais trop peur que mes parents débarquent brutalement dans la chambre... Mais lorsque j’étais très excité, il m’arrivait de le baisser jusqu’aux chevilles. La peur d’être pris s’ajoutait à mon excitation, et je jouissais très très vite.
Vers 9 ou 10 ans, j’avais compris ce que c’était que de faire l’amour et que je simulais ça avec mon ours. C’est ainsi qu’il m’arrivait de prendre une grande Bécassine en peluche à la place. Elle était habillée, et je lui soulevais la robe, et j’enlevais ses collants avant de coller mon sexe sur son entrejambe en m'allongeant dessus. Mes mains étaient plaquées sur ses fesses pour presser Bécassine sur ma queue et j’ondulais des hanches dans un mouvement voluptueux. J’ai passé ainsi mes nuits d’enfance à jouir comme un chien. Malheureusement, ma mère a fini par me la confisquer parce qu’elle disait que j’étais maintenant trop grand. Ce en quoi elle n’avait pas tout à fait tort, parce que quand on commence à baiser Bécassine, c’est qu’on a déjà atteint une certaine maturité... XD
J’étais conscient que je faisais parfois trop de bruit. C’est pourquoi, en grandissant j’ai commencé à prendre le risque sortir de mon lit le soir. J’attendais de ne plus rien entendre dans la maison pour me glisser doucement dans le noir à coté de mon lit pour baiser mon ours à même le sol (c’était moins bruyant...). C’était tout de même un peu embêtant parce que la moquette était moins agréable que mon matelas douillet, mais le risque de me faire prendre augmentait mon excitation et comblait le problème.
Lun 24 nov 2008
2 commentaires
Je t'aurai bien pris en photo avec ta Bécassine en te menacant de la montrer à tes parents )
moi - le 25/11/2008 à 12h28
Bah, je te l'aurais prêté ma Bécassine, va! ^^
Paäd
lol !!!
moi - le 28/11/2008 à 15h51