Mercredi 26 novembre
3
26
/11
/Nov
20:00
Jusqu’ici, je me masturbais toujours en frottant mon sexe sur mon ours en peluche (voir les confessions de mes débuts), mais j’avais découvert que les autres garçons ne pratiquaient pas ce genre
de masturbation: ils utilisaient leurs doigts en faisant des va-et-viens. A la suite de cette découverte, j’allais tester cette nouvelle méthode.
J’avais 10 ans et je passais mes vacances chez mes grands parents. Chez eux, je n’avais pas de chambre personnelle, et la coutume voulait que les enfants restent à jouer dehors tant qu’il ne
pleuvait pas. Bref, autant dire que pour l’intimité, c’était raté! D’autant que pour me masturber il me fallait une peluche. Pas évident... Mes besoins sexuels avaient largement augmenté, et
j’avais de plus en plus souvent une envie pressante de me masturber. Il fallait absolument que je trouve un moyen. J’ai d’abord pensé à trouver un moyen de substitution plus discret qu’une
peluche (à 10 ans, on ne joue pas dehors avec son ours en peluche...). J’ai commencé à utiliser des sacs plastique que je gonflais. J’allais derrière la maison, au fond du jardin, et je pressais
ma queue sur les sacs. Evidemment, si le contact était intéressant, ce n’était pas satisfaisant malgré tout. Les sacs ne restaient pas gonflés. Je mettais des mouchoirs dans mon slip (nous avions
encore des mouchoirs en tissus à cette époque) qui me pressaient contre la bite. C’était hyper agréable, mais je ne pouvais pas aller à l’orgasme de cette façon. C’est alors que j’ai décidé de
tenté le tout pour le tout: j’ai voulu essayer avec ma main.
Je suis allé me placer entre deux tas de bois pour me cacher (au pire, je pouvais faire semblant de jouer dans une cabane...). J’étais debout. J’ai baissé mon pantalon et mis mon slip sur mes
cuisses. J’ai commencé à écarter les jambes. La position me faisait bander comme un fou. J’avais l’impression d’être un sale garçon, un chien, une raclure avide de sexe. J’ai pris mon gland entre
trois doigts (ma bite était encore trop petite pour être prise à pleine main...) et j’ai commencé à faire des va-et-viens avec mon prépuce. Les sensations étaient là, c’est clair, mais très, voir
trop violentes à mon goût. J’étais très sensible. C’était limite douloureux. Je me suis arrêté une première fois. C’est fou comme des années après je peux me souvenir de cette branle là. Je me
suis mis à recommencer une autre fois. J’ai atteint l’orgasme très rapidement. J’étais rassasié et content de voir que cette technique marchait. Je décidais de la garder pour les périodes de
disette.
De fait, j’ai attendu 2 ans avant de réutiliser cette technique. Chez moi, le soir, j’ai continuer à me masturber avec ma peluche. C’était doux et agréable. Et puis, je suis entré en adolescence.
Progressivement, ma bite a commencé à grossir et ma peluche s’est rapidement avérée trop petite. Je l’ai alors remplacée par mon traversin. Je m'allongeais dessus, les mains toujours placées
dessous pour le plaquer sur ma bite. Parfois je le pliais en deux pour avoir encore plus de douceur. J’avais été tellement marqué par ma période “branlette sur mon ours en peluche” qu’il
m’arrivait de la mettre sur mon traversin... Hormis le cas chez mes grands parents, je me branlais toujours le soir.
Merci pour ton passage sur mon blog! Je suis allé faire un tour sur le tiens qui m'a bcp plu!
ne soyons pas timide pour avouer!
crismas3716@yahoo.fr
cris qui vous fait la bise et attend un petit courrier perso "juteux"!
merci!