Journal de masturbation
Comme je l’avais expliqué précédemment, lorsque j’étais au collège, je me masturbais souvent lorsque ma mère partait chercher mon petit frère à l’école. A cette époque, j’étais en pleine
exploration sexuelle. C’est pendant une de ces fois, un mercredi après-midi, où j’ai éjaculé pour la première fois (j’étais en 5e). Mon frère avait une figurine articulée violette représentant
une femme guerrière. Je lui avais piqué parce que, sans que je sache trop pourquoi, je la trouvais terriblement excitante! Elle avait de jolis petits seins et une chatte bien dessinée. Ce jour
là, je m’amusais à frotter doucement mon sexe sur son entre-jambe , assis sur mes genoux, jambes écartées, le slip sur le chevilles, quand soudain, j’ai vu que mon gland était humide, mouillé par
un liquide légèrement épais et complètement translucide. J’ai remarqué qu’il y en avait aussi sur l’entrejambe de la guerrière. Ma première réaction a été la peur, car j’imaginais une sorte de
maladie, et qu’il faudrait aller chez le médecin, qu’il verrait ce que je faisais... Mais très vite, je me suis calmé pensant que c’était du sperme. Un petit doute subsistait parce que j’avais lu
dans le dictionnaire que le sperme était un liquide épais et blanchâtre, ce qui ne correspondait pas. J’imaginais que c’était parce que j’étais encore trop jeune. J’avais entendu les filles dire
qu’avant leurs règles, elles avaient des pertes blanches. Pour nous, c’était peut-être pareil? La deuxième chose, c’est que je n’avais pas eu d’orgasme, or il était clair que normalement, le
sperme coulait au moment de l’orgasme. Mais pour ça, il était facile de le savoir: j’allais recommencer. Parfois, lorsque j’étais fatigué, ou que je m’étais masturbé trop souvent, les orgasmes
étaient parfois très faibles... J’essuyais donc soigneusement la guerrière violette (de peur de laisser des traces - je ne savais pas si ça tachait...), et la remettait donc en place, content de
moi malgré tout.
Dès que j’en ai eu l’occasion, j’ai décidé de remettre ça, avec la guerrière (peut-être que c’était elle qui provoquait ça?) et j’ai observé le même phénomène. J’ai alors recommencé en me frottant sur mon oreiller ou avec ma mains, et à chaque fois, je voyais le même liquide, mais je ne pouvais pas dire à quel moment celui-ci apparaissait. Les quantités devenaient chaque jour plus grande (ça restait ridiculement peu, à peine de quoi mouiller le gland), mais je ne le voyais jamais sortir. Au collège, il semblait que cela commençait aussi à arriver à certains d’entre nous. J’étais totalement rassuré, et je crois un peu fier. Et puis, brutalement, très peu de temps après ces “événements”, le sperme s’est finalement teinté d’une couleur légèrement blanche. C’était fait. Il s’est ensuite écoulé un long moment avant de voir sortir le sperme. J'eus la surprise de découvrir qu’il sortait par saccade. A l’époque, pas de gros jets comme on le voit dans les vidéos pornos, mais des petites gouttelettes sortant rapidement par saccade. Certains de mes camarades de classe se vantaient de lancer de long jets puissants (parfois même de l’autre côté du lit). Pour ma part, ça restait toujours de tous petits jets (mais peut-on même appeler ça des jets?). C’était heureux parce que, à cette époque, je n’avais pas de sperme à essuyer par terre (le sol de ma chambre était recouvert de moquette). Mais tout de même, à l’époque, j'eut aimé voir un gros jet. En fait, ça m’est arrivé, je pense à peu près un an plus tard, pendant les grandes vacance d’été.
Je passais mes vacances à la montagne, et bien sûr, pas moyen de s’isoler pour pouvoir me soulager. Je faisais ça sporadiquement aux toilettes, ou dans la salle de bain. Mais ce n’était pas confortable, et je n’avais pas beaucoup de temps avant qu’on frappe à la porte pour me demander ce que je fichais là dedans. Bref, je ne pouvais pas me finir et j’avais le gland en feu. J’étais excité comme ce n’était pas possible. De plus c’est aussi à cette époque que j’ai commencé à me monter des histoires cochonnes dans ma tête qui me maintenaient à des niveaux d’excitation extrêmes à longueur de journée. Une fois, alors que j’étais dans cet état, j’ai alors décidé de descendre au garage pour y trouver un peu de tranquillité. Malheureusement, il n’y avait même pas un siège, et le garage était commun à d’autres appartements. Bref, quelqu’un pouvait débarquer à n’importe quel moment. Je me suis alors masturbé debout, le jean et le slip baissé sous les fesses, les jambes écartées au possible. Je branlais mon gland le plus vite possible trouvant enfin un soulagement à mes pensées concupiscentes. Et puis, je ne sais pas pourquoi, mais je me rappelle parfaitement la montée brutale du plaisir. C’est une de mes jouissances dont je me souviens le mieux. C’était incroyable! Mes jambes se sont mises à trembler, incontrôlables, puis mon corps s’est contracté spasmodiquement, je n’entendais plus rien et d’un seul coup, je me suis raidi, tous les muscles tendus et c’est parti. C’est parti! C’est le mot... Un jet immense, droit net, une magnifique parabole qui s’est écrasé contre le sol et en même temps, une brûlure terrible dans mon sexe. J’ai poussé un râle. Encore des jets, puissants rapide, violents même, encore, encore... Je me souviens même avoir rigolé juste après, éberlué par cette incroyable jouissance.
Dès que j’en ai eu l’occasion, j’ai décidé de remettre ça, avec la guerrière (peut-être que c’était elle qui provoquait ça?) et j’ai observé le même phénomène. J’ai alors recommencé en me frottant sur mon oreiller ou avec ma mains, et à chaque fois, je voyais le même liquide, mais je ne pouvais pas dire à quel moment celui-ci apparaissait. Les quantités devenaient chaque jour plus grande (ça restait ridiculement peu, à peine de quoi mouiller le gland), mais je ne le voyais jamais sortir. Au collège, il semblait que cela commençait aussi à arriver à certains d’entre nous. J’étais totalement rassuré, et je crois un peu fier. Et puis, brutalement, très peu de temps après ces “événements”, le sperme s’est finalement teinté d’une couleur légèrement blanche. C’était fait. Il s’est ensuite écoulé un long moment avant de voir sortir le sperme. J'eus la surprise de découvrir qu’il sortait par saccade. A l’époque, pas de gros jets comme on le voit dans les vidéos pornos, mais des petites gouttelettes sortant rapidement par saccade. Certains de mes camarades de classe se vantaient de lancer de long jets puissants (parfois même de l’autre côté du lit). Pour ma part, ça restait toujours de tous petits jets (mais peut-on même appeler ça des jets?). C’était heureux parce que, à cette époque, je n’avais pas de sperme à essuyer par terre (le sol de ma chambre était recouvert de moquette). Mais tout de même, à l’époque, j'eut aimé voir un gros jet. En fait, ça m’est arrivé, je pense à peu près un an plus tard, pendant les grandes vacance d’été.
Je passais mes vacances à la montagne, et bien sûr, pas moyen de s’isoler pour pouvoir me soulager. Je faisais ça sporadiquement aux toilettes, ou dans la salle de bain. Mais ce n’était pas confortable, et je n’avais pas beaucoup de temps avant qu’on frappe à la porte pour me demander ce que je fichais là dedans. Bref, je ne pouvais pas me finir et j’avais le gland en feu. J’étais excité comme ce n’était pas possible. De plus c’est aussi à cette époque que j’ai commencé à me monter des histoires cochonnes dans ma tête qui me maintenaient à des niveaux d’excitation extrêmes à longueur de journée. Une fois, alors que j’étais dans cet état, j’ai alors décidé de descendre au garage pour y trouver un peu de tranquillité. Malheureusement, il n’y avait même pas un siège, et le garage était commun à d’autres appartements. Bref, quelqu’un pouvait débarquer à n’importe quel moment. Je me suis alors masturbé debout, le jean et le slip baissé sous les fesses, les jambes écartées au possible. Je branlais mon gland le plus vite possible trouvant enfin un soulagement à mes pensées concupiscentes. Et puis, je ne sais pas pourquoi, mais je me rappelle parfaitement la montée brutale du plaisir. C’est une de mes jouissances dont je me souviens le mieux. C’était incroyable! Mes jambes se sont mises à trembler, incontrôlables, puis mon corps s’est contracté spasmodiquement, je n’entendais plus rien et d’un seul coup, je me suis raidi, tous les muscles tendus et c’est parti. C’est parti! C’est le mot... Un jet immense, droit net, une magnifique parabole qui s’est écrasé contre le sol et en même temps, une brûlure terrible dans mon sexe. J’ai poussé un râle. Encore des jets, puissants rapide, violents même, encore, encore... Je me souviens même avoir rigolé juste après, éberlué par cette incroyable jouissance.
Lun 5 jan 2009
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