Journal de masturbation

Et puis ce fut la rentrée en 6e, et c’est à ce moment là que j’ai appris un tas de choses! Déjà j’écoutais le soir la radio en cachette dans mon lit. A cette époque c’était l’émission du soir sur NRJ (c’est rapidement passé à Fun, et l’émission de Max...). C’était une mine incroyable d’informations! Et puis nous parlions de plus en plus librement de sexualité avec les autres garçons et parfois même avec les filles. Nous attendions avec impatience le moment ou enfin nous pourrions éjaculer et les filles semblaient très curieuses d’en savoir plus également.

C’est ainsi que j'apprit que beaucoup se masturbaient devant les catalogues de La Redoute ouvert à la page lingerie. Ca fait sourire, mais c’est tellement vrais... Qui ne l’a pas fait. Malheureusement, à ce moment là, ma mère ne commandait pas par correspondance, mais mes copains me filait les pages arrachés des vieux catalogues. Les filles étaient tellement belles! Mais ceci a fini par impliquer le fait que je ne pouvais plus me soulager le soir dans mon lit: il me fallait de la lumière. A cette époque j’avais bien trop peur de me faire surprendre, alors j’attendais d’être seul à la maison. Je n’avais pas cours le mercredi après-midi et ma mère devait aller chercher mon petit frère à son école. J’avais donc toutes les semaines un créneaux libre pour m’en donner à coeur joie. Je pouvais m’installer confortablement et placer devant moi toutes ces jolies jeunes filles en culotte.

J’entrais dans l’adolescence et ma queue commençais à grossir sérieusement, mais je n’éjaculais toujours pas. Je n’utilisais plus mon ours en peluche, mais mon oreiller et mon traversin que je pliait en deux, et parfois même les deux empilés l’un sur l’autre pour avoir plus de moelleux (je les baisais agenouillés, les jambes écartés, la queue coincée entre les oreillers et mon ventre). C’est ainsi que j’ai commencé à me masturber de jour et à abandonner la masturbation le soir dans mon lit (trop bruyante, et pas de lumière pour voir les pages lingerie). Parfois à mon bureau, je secouais ma bite avec mes doigts, je cherchais des techniques, je tirais sur mon slip, j’y plaçais des mouchoirs pour augmenter la pression sur ma bite, je sentais l’odeur de mes doigts après avoir touché mon sexe. Cette odeur me rendais dingue et je bandais comme un fou en pensant aux filles de la classe. Je savais qu’elles aussi évoquaient la masturbation parfois entre-elles (en tout cas quelques-unes un peu plus téméraires) et beaucoup rougissaient en baissant les yeux et en certifiant que c’était dégoûtant (pour beaucoup, ça ne les empêchaient pas d’écouter quand même...). J’ai même appris qu’une d’entre elle avait essayé de se masturber avec son stylo à 12 couleurs (ou un truc du genre, c’était un stylo à la mode à l’époque qui avait le diamètre d’une bite). Je ne savais pas vraiment si c’était vrais, mais ça m’excitait prodigieusement de les immaginer. J’étais persuadé que c’était pour elles la seule solution pour se caresser. Je ne connaissais pas l’existence du clitoris... Il m’est même arrivé en cours d’emprunter leur stylo et de le sniffer discretement. Ça peut peut-être paraître étonnant autant de familiarité entre filles et garçons, mais nous nous connaissions très bien et depuis longtemps. Nous faisions notre apprentissage ensemble. Chacun était avide de savoir et nous surpassions parfois notre timidité pour en savoir plus, les oreilles en feu.

C’est ainsi qu’avec les garçons de ma classe, nous avions commencé à nous masturber dans le petit bois au fond de la cours de récréation. Nous échangions nos expérience, et comparions la taille de nos bites. Je dois avouer, avec un manque évident de modestie, que j’avais gagné le respect de tous mes amis parce que j’avais la plus grosse. Cette idée s’était même assez largement répandue dans la classe et même parmi les filles. Elles étaient d’ailleurs au courant de nos activités dans les bois et il n’était pas rare de les voir débouler espérant nous surprendre. Nous parlions alors sexe ensemble, nous voulions tout savoir. Je me souviens, qu’elles avaient voulu voir comment ça faisait quand nous bandions. Elles nous avaient demandé de leur montrer au travers le pantalon. Trop malin, nous avions placé un bout de bois à la place (mais elles n’avaient pas été dupe).

Un jour nous avons même été nous masturber une fois pendant le cours de français au fond de la classe. Certaines filles avaient compris, je pense, ce que nous faisions, car elles se retournaient de temps en temps en rigolant. Nous cachions notre bite sous notre chemise. Je ne suis pas certains, mais je pense que la prof se doutais plus ou moins de ce que nous faisions parce qu’elle m’avait fixé, et elle fini par me dire que j’avais une belle chemise. Ça nous avait un peu calmé sur le moment, mais après nous en avions rigolé pendant longtemps!
Jeu 27 nov 2008 Aucun commentaire